Collection Vengeance. L’Île De Ma Soumission (1/3)

Je m’appelle Agathe, j’ai 32 ans, je suis mariée avec Louis qui en a 34, en ce moment, j’ai beau être devenue une grosse vache, aimant m’empiffrer de chocolat, j’ai la queue d’un SDF, très bien monté au fond de la chatte.
Louis a gardé la sveltesse de nos 20 ans, il va en salle de sport trois fois par semaine, il a voulu m’y entraîner, mais je préfère être allongé sur notre lit, les cuisses écartées et ce morceau de roi au fond de moi.
Ce morceau de roi, c’est celui de Rolland, un black que j’ai rencontré en allant au marché, il faisait la manche et était très sale.

• Une petite pièce ma bonne dame.
• Mieux, jeune homme, vient chez moi, mon mari est en déplacement pour son travail, vous pourrez manger, mais avant prendre un bain.

Il me suit comme un bon toutou, je lui prête ma salle de bains, un peignoir, je lui fais une omelette pendant que je dévore une tablette de chocolat au miel et noisettes.
Il a fini de manger et semble vouloir retourner à sa vie des rues, je passe ma main sous son peignoir, je trouve ce que je cherchais, un sexe qui va me défoncer, je m’agenouille et je le mets dans ma bouche, j’ai l’habitude de tel engin, je cocufie Louis chaque fois que je le peux, privilégiant ce genre d’homme au gros sexe.

Je l’ai bien encré au fond de mon vagin, quand la porte de la chambre s’ouvre, Louis apparaît encadré de deux gorilles et d’une femme, tous de cuire vêtue avec une cravache en main.

• Toi le bellâtre tire-toi, même si tu bandes encore, retourne dans ta rue et va te taper une pignole.

C’est la femme qui a parlé, on sent que cette femme est une dominatrice.

• Je vois qu’il y a du travail, 1 000 € du demi-kilo, Louis, si tu me payes 1 000 € du kilo, je suis perdante et tu sais les charges que nous avons pour remettre en condition des salopes comme ta femme.
• Ok, maîtresse Océane, 2 000 du kilo, Agathe va chercher la bascule dans la salle de bains.

Je me lève, je suis abasourdie, beaucoup de choses m’interpellent, « les charges que nous avons », mon mari semble appartenir à un groupe dont à ce moment j’ignore le but.
Je me lève, vite rattrapé par la cravache de maîtresse Océane.

• J’ai 80 % de chance de te prendre pour faire de toi une chienne et te faire retrouver ta taille de guêpe, à partir de maintenant, ta vie se passe au niveau du sol, tu es une merde pour moi, à quatre pattes.

Elle me flagelle la croupe, malgré ma graisse accumulée depuis notre mariage, je hurle, car elle m’a fait mal, pour éviter les coups, je file à la salle d’eau, j’en reviens sur les genoux, une main, portant sur mon sein la balance demandée.

• Met tes genoux dessus, que je te pèse et que je donne le prix de ton dressage et de ta perte de poids à ton mari.
82 kilos, joli paquet de bidoche Louis, sa remise en état va te coûter un max, à combien veux-tu que je te la ramène.
• Je l’ai rencontré, elle faisait 54 kilos pour 1 mètre 60, elle était à la limite de l’anorexie, on va faire mieux, j’aime les chiffres ronds, 52 kilos, soit 30 kilos à 2 000 €, maîtresse Océane, 60 000 €, je vais te les faire porter.
• Attends Louis, ça va douiller plus que cela, quand ta salope, ma chienne, aura retrouvé son poids de forme, il faudra faire de la chirurgie esthétique, tablier et seins qui vont tomber jusqu’à son nombril.
10 et 10 de plus, total 80 000 € pour retrouver ta femme d’avant.
• Maîtresse Océane, si tu y arrives, je te donnerais une prime de 20 000 €, 100 000 € au total, je serais gagnant surtout si elle devient ma vide couille, mais là, je te laisse lui expliquer comment tout cela va se passer pour elle.
• J'accepte ce prix, je vais couvrir nos charges, je t’offre la coiffure que je devrais lui faire pour te la rendre présentable, allez messieurs, chargez là dans le van avec les deux autres, direction le bateau, mon île m’attend.

Je suis poussée vers la sortie par les pieds des deux gorilles qui semblent être la protection de cette femme, devant le garage, une camionnette assez grande est là, une cage est ouverte.

• Monte, dépêche-toi, chienne Dolly, pour les noms de mes nouveaux toutous, ce sont les D cette année, rejoints Daisy et Dido mon nouveau mâle.

Je monte dans la cage, la porte se referme, j’ai le temps de voir une femme dans une cage voisine aussi nue que moi, une vingtaine d’années, je me retrouve dans le noir.

• Qui es-tu ?
• No French, angliche !

J’entame une conversation en anglais, j’ai le temps de dire, c’est quelques mots, une décharge électrique, me cloue en deux.

• Fermez vos gueules, interdiction de parler.

La phrase est aussi donnée en anglais et une langue inconnue, plutôt du Slave, je comprends que les cages sont reliées à un système électrique, maîtresse Océane doit avoir un bouton qu’elle pousse pour nous envoyer des décharges.
Nous roulons, nous arrêtons, roulons, arrêtons, ou nous conduit-on, vers un bateau genre cargo, je le vois quand la porte est ouverte, il fait nuit, les gorilles attnt nos cages comme s’il s’agissait de plumes.
En plus de l’Anglaise, il y a un homme dans le troisième, il a une vingtaine d’années, je sais pourquoi je suis là, mon mari m’a pour ainsi dire vendue à cette femme pour que je perde du poids.
Des crochets sont accrochés aux coins des cages, une grue immense les soulève, nous soulevant en même temps, j’ai la peur de ma vie, lorsque je regarde vers le bas, je vois le trou noir d’une cale où nous sommes déposées.
Nos trois cages sont arrimées, un temps d’attente, le bateau vibre, nous devons quitter le quai, un temps plus tard, maîtresse Océane arrive toujours, flanquer de ses deux sbires.

• Nous allons profiter de la traversée pour vous apprendre les règles de votre nouvelle vie.

L’Anglaise prend la parole, je comprends qu’elle est offusquée du sort que l’on lui fait subir.

• Messieurs, sortez Dido de sa cage et faite lui voir comment je traite mes toutous quand ils sont impertinents.

À travers les barreaux de la mienne, je vois l’Anglaise qui semble être là pour un autre motif que son surpoids se faire sortir sans ménagement de sa cage, l’un des gorilles sort sa queue et lui four dans la bouche, l’autre vient derrière elle et sans ménagement l’empale.

• C’est bien les garçons, pendant son séjour, cette petite sainte-ni-touche va apprendre à devenir une chienne lubrique comme le souhaite son fiancé.

C’est en anglais qu’elle parle, me permettant de comprendre ce qu’elle dit, il la prend sauvagement, l’un lui décharge dans la bouche, l’autre ressort, je vois qu’elle était vierge.
Le fiancé doit être un malade pour payer pour que celle qui va devenir sa femme soit déflorée par d’autres.

• Sortez les deux autres, nous allons apprendre à ce jeune homme que sa bite est faite pour satisfaire les femmes et oublier les garçons, on va en faire un homme.

C’est moi qui vais lui servir de déniaiseuse, il doit s’être fait des mecs et sa famille l’apprenant lui paye un stage de formation sur l’île de cette femme, et dire qu’en plus de mon poids, Louis mon mari en avait assez que je le cocufie.
Alors pourquoi m’offrir du sexe !

• Avant, ma grosse salope, viens me brouter la chatte, ton homme m’a dit que tu te faisais des mâles surtout blacks, dans son rapport, aucune femme pour baiser avec toi.
En attendant, prenez ces trois colliers, sur mon île tous mes toutous en ont, l'anneau nous permet de leur mettre une laisse quand nous les récupérons pour les épouiller.

Je sors de ma cage me permettant de retrouver une position plus acceptable bien que je reste à quatre pattes, l’un des gorilles me passe un collier de cuir, marque de ma déchéance.
J’avais déjà l’impression d’être devenue un morceau de chair, je deviens une soumise à cette femme qui joue avec sa cravache quand après avoir baissé son pantalon de cuir, sa chatte m’apparaît.

• Suce, fais travailler ta langue, j’ai des ouvrières qui aiment que mes chiennes femelles, les satisfassent, je suis une propriétaire très tolérante avec les diverses formes que puissent prendre leur sexualité.

C’est comme ça que je fais monter le plaisir dans les parties intimes de cette femme qui va toucher 100 000 € de mon mari pour m’amener au poids que je faisais lorsque nous nous sommes rencontrés avec Louis.
Dire que j’étais une oie blanche à ce moment de notre vie.

La traversée vers une destination inconnue, sauf la température qui me fait comprendre que nous sommes sous les tropiques, les moteurs du bateau s’arrête.
Les gorilles descendent, comme ils l’ont fait pendant les jours de la traversée afin de recommencer l’épisode où j’ai joui et fait jouir maîtresse Océane.
Les tropiques, quand les cages sortent comme elles sont entrées, soulevées par une grue et que je vois des palmiers confirmant mon impression.
Nous sommes placés sur un camion plateforme et nous sommes dirigés vers le centre de l’île, à un carrefour, une chienne est là, assise sur son arrière-train, un homme noir portant un bermuda délavé s’approche, sort sa queue.
La chienne se redresse et présente sa croupe, c’est tout ce que je vois, le camion tourne me cachant l’introduction en pleine rue de cette femme.
J’ai aussi vu quand elle se redressait qu’elle avait une espèce de tablier de chair qui pendait sous elle et ses seins aussi plats que la queue d’un castor, je suis sûr que je vais subir le même traitement prochainement d’où la chirurgie esthétique à 20 000 €.

Les cages sont ouvertes, nous entrons dans une pièce borgne ou maîtresse Océane est là…